ComGprendrais-tu ma belle qu'un jour fatigué J'aille me Fbriser la voix une dernière fois À cent Emvingt décibels contre un grand châtaignier D'F7amour pour toiG.
TrouGverais tu cruel que le doigt sur la bouche Je t'emFmène hors des villes en un fort, une presqu'île, OuEmblier nos duels, nos escarmouches Nos F7peurs imbéciles.
On Girait y attendre la fin des combats Jeter aux Fvers, aux vautours tous nos plus beaux discours Ces mots qu'on Emrêvait d'entendre et qui n'existent pas Y F7devenir Gsourd... (Aouuu Couuu)
FIl est un esDmtuaire un long Emfleuve de soupirs Ou l'eau B7mêle nos mystères et nos Gbelles différences J'y apFprendrai a me Dmtaire et tes Emlarmes retenir Dans cet B7autre Finistère aux longues Gplages de silence.
GBien sûr on se figure que le monde est mal fait Que les Fjours nous abiment comme de la toile de Nîmes Qu'entre Emnous, il y a des murs qui jamais ne fissurent Que F7même l'air nous opprime.
Et Gpuis on s'imagine des choses et des choses Que nos Fliens c'est l'argile des promesses faciles Sans Emvoir que sous la platine du temps, y'a des roses Des F7jardins fertGiles... (Aouuu Couuu)
FIl est un esDmtuaire un long Emfleuve de soupirs Ou l'eau B7mêle nos mystères et nos Gbelles différences J'y apFprendrai a me Dmtaire et tes Emlarmes retenir Dans cet B7autre Finistère aux longues Gplages de silence.
Cm G B7 G G4 G Cm G B7 D D7
Car Alà-haut dans le ciel si un jour je m'en vais Ce que je Gvoudrais de nous emporter avant tout C'est le F#msucre, et le miel et le peu que l'on sait G7N'être qu'à Anous... (B7ouuu Douuu)
GIl est un esEmtuaire un long F#mfleuve de soupirs Ou l'eau C#7mêle nos mystères et nos Abelles différences J'y apGprendrai a me Emtaire et tes F#mlarmes retenir Dans cet C#7autre Finistère aux longues Aplages de silence.